mardi 1 février 2011

Mi aniversario: 6-IX-2004, Del pueblo a Mansilla de Las Mulas

VIIIe Semaine
Lundi le 6/IX/2004:
Mi aniversario:
el pueblo - Mansilla de Las Mulas

2 commentaires:

  1. Thé et chocolat un peu tard le matin avec l'Oriental. Il me gratulait sur mon anniversaire, j'ai su qu'il était bouddhiste, lui que je suis catholique.

    Mis en marche, je m'arrête dans un bar ou - on me paie? - un café (pour mon anniversaire, alors?), après je ferais du stop.

    Ensuite je vais marcher entre champs arrigués par des petits canaux en tuyaux audessus de la terre, on me dit que l'eau n'est pas potable.

    Ensuite il y a le rencontre avec le Saxon qui fait son pélé d'Allemagne et qui lit Karl May. On sera ensemble en marchant ou bavardant ou se reposant jusqu'à tard l'après-midi, on aura une manque d'eau et on sera récupérés par une voiture pour aller vers l'auberge de Mansilla de Las Mulas.

    Wolfgang y est un aubergiste, il est Allemand, il me croit d'abord pas très sincère - j'ai demandé la nuit gratuite, car je n'avais pas d'argent - mais il change d'avis.

    Le soir je retrouve la fille allemande qui avait eu le pied refoulé. On se parle, elle est de Leipzig, c'est un mot Slavon "Lipsk" (car les Allemands on pris le territoir des Slavons, dont il reste quelques Sorbes en Lausitz, forme de Amish de la pleine Européenne) veuillant dire "avec des tilleuls". Elle a déjà un copain.

    Le savon qu'on m'offre comme cadeau d'anniversaire ne sera pas utilisé, pas par manque d'hygiène, mais parce que partout il y a déjà du savon - et je n'ai pas une boîte qui le protégérait de savonner les autres choses, une fois humidifié.

    L'autre Allemande prête volontiers une intention à l'eau qui lui semble se rejouir de lui soigner les pieds. Ça me semble assez innocent comme superstition, et pas même hors les limites de la possibilité. Après tout, les anges sont partout et dirigent partout la réalité corporelle, sauf les corps humains dirigés par leurs âmes (s'ils sont en éveille).

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